Je sens en toi les mêmes choses très profondes
Qu’en moi-même dormir
Et notre soif de souvenir
Boire l’écho, où nos passés se correspondent.
Extrait de Ce chapiteau barbare où des monstres se tordent, Emile Verhaeren (1855 – 1916)
Je sens en toi les mêmes choses très profondes
Qu’en moi-même dormir
Et notre soif de souvenir
Boire l’écho, où nos passés se correspondent.
Extrait de Ce chapiteau barbare où des monstres se tordent, Emile Verhaeren (1855 – 1916)
Je dédie à tes pleurs, à ton sourire,
Mes plus douces pensées,
Celles que je te dis, celles aussi
Qui demeurent imprécisées
Et trop profondes pour les dire.
Extrait de Les heures claires, Emile Verhaeren (1855 – 1916)
Je dédie à tes pleurs, à ton sourire
À toute ton âme, mon âme,
Avec ses pleurs et ses sourires
Et son baiser.
Extrait de Les heures claires, Emile Verhaeren (1855 – 1916)
Dis-moi, ma simple et ma tranquille amie,
Dis, combien l’absence, même d’un jour,
Attriste et attise l’amour ,
Et le réveille, en ses brûlures endormies ?
Extrait de Dis-moi ma simple et tranquille amie, Emile Verhaeren (1855 – 1916)
Je te regarde, et tous les jours je te découvre
Emile Verhaeren