Les dimanches s’y éternisent
Et les orgues de Barbarie
Y sanglotent dans les cours grises
Les fleurs aux balcons de Paris
Penchent comme la tour de Pise.
Extrait de La chanson du mal aimé, Guillaume Apollinaire (1980 – 1918)
Les dimanches s’y éternisent
Et les orgues de Barbarie
Y sanglotent dans les cours grises
Les fleurs aux balcons de Paris
Penchent comme la tour de Pise.
Extrait de La chanson du mal aimé, Guillaume Apollinaire (1980 – 1918)