Et quand le monde enfin viendra d’être lavé
alors de nouveaux yeux naîtront dans la fontaine
et le blé poussera sans que coulent les larmes.
Ce temps où tu m’aimas (extrait), Pablo Neruda (1904 – 1973)
Et quand le monde enfin viendra d’être lavé
alors de nouveaux yeux naîtront dans la fontaine
et le blé poussera sans que coulent les larmes.
Ce temps où tu m’aimas (extrait), Pablo Neruda (1904 – 1973)
Quand soudain souvenances
Vont s’accrochant aux heures
Et quand réminiscences
M’emplissent de langueur
Je cours après mon ombre
Et nul ne sait.
Et sur le balcon où le thé
Se prend aux heures de la lune
Il n’est resté de trace, aucune,
Pas un souvenir n’est resté.
Je suis née de la mer et ne l’ai reconnu
Angèle Vannier
Qu’au bras de mon amour et ne l’oublierai plus.
Entends comme le vent
m’appelle en galopant
pour m’emmener au loin.