La raison, la raison, c’est une hémorragie.
Il ne faut plus écrire, il ne faut plus saigner.
Je guéris de moi-même, ô ma chair assagie !
J’accepte le printemps que j’ai trop dédaigné.
La raison, la raison, c’est une hémorragie.
Il ne faut plus écrire, il ne faut plus saigner.
Je guéris de moi-même, ô ma chair assagie !
J’accepte le printemps que j’ai trop dédaigné.