Ô mon oiseau de flamme, il faut que je respire !
Il faut vivre par coeur, il ne faut pas penser.
Ma vie – je l’ai voulu – n’est plus que la satire
D’une vraie vie. Pardonne-moi pauvre passé !
Ô mon oiseau de flamme, il faut que je respire !
Il faut vivre par coeur, il ne faut pas penser.
Ma vie – je l’ai voulu – n’est plus que la satire
D’une vraie vie. Pardonne-moi pauvre passé !