Si je troquais mon équilibre pour la rage,
Qui sans cesse me dit : « Tout s’écroule et tout meurt »
Je n’aurai qu’à noircir une dernière page
En déchirant, comme un sonnet, mon équateur.
Si je troquais mon équilibre pour la rage,
Qui sans cesse me dit : « Tout s’écroule et tout meurt »
Je n’aurai qu’à noircir une dernière page
En déchirant, comme un sonnet, mon équateur.