Toujours, partout, je suis tes pas

A l’heure où brille la lumière,
A l’heure où le jour ne luit pas ;
L’été, quand sous le vert ombrage
Tu viens t’asseoir après l’ouvrage :
L’hiver, par le froid, par l’orage ;
Toujours, partout, je suis tes pas.

Extrait de A Gianetta, Félix Arvers (1806 – 1850)