Adieu tristesse,
Bonjour tristesse.
Tu es inscrite dans les lignes du plafond.
Tu es inscrite dans les yeux que j’aime.
Paul Éluard, extrait de À Peine Défigurée dans La vie immédiate (1932)
Adieu tristesse,
Bonjour tristesse.
Tu es inscrite dans les lignes du plafond.
Tu es inscrite dans les yeux que j’aime.
Paul Éluard, extrait de À Peine Défigurée dans La vie immédiate (1932)