Nous nous tairons longtemps
Laissant agir le bienveillant silence
Pour apaiser l’émoi et la double cadence
De nos deux coeurs battants.
Emile Verhaeren, extrait d’Au passant d’un soir dans le recueil Les Flammes Hautes (1917)
Nous nous tairons longtemps
Laissant agir le bienveillant silence
Pour apaiser l’émoi et la double cadence
De nos deux coeurs battants.
Emile Verhaeren, extrait d’Au passant d’un soir dans le recueil Les Flammes Hautes (1917)